1) Une médecine manuelle
Elle privilégie l’approche structurelle.
l’ostéopathe réorganise les dysfonctions de l’appareil moteur en utilisant essentiellement des techniques :
- Ostéoarticulaires.
- crâniennes
- viscérales
- Musculaires.
- Ligamentaires.
- Faciales.
- Cutanées.
- Tendineuses.
2) Notre volonté ostéopathique
Que l’ostéopathe appréhende toujours l’individu malade dans son unité et le traite en entier et cela aux antipodes de la médecine de symptômes.
Qu’il ne se contente pas de recettes tronquées, truquées et de protocoles préétablis.
Que l’ostéopathe reçoive les moyens de jouer son rôle dans le traitement précoce et surtout dans la prévention des troubles des fonctions, dès la naissance, dès la gestation.
Que l’ostéopathie converge avec d’autres thérapies complètes, dans le respect de l’unité du malade.
3) Conclusion
L’ostéopathie ne peut être assimilée à de simples moyens techniques qu’on utilise à son gré sous peine de les mutiler et de les dénaturer.
Nous risquons ainsi de perdre les concepts qui fondent notre pratique.
Il est indispensable de faire converger le travail des différentes thérapies plutôt que de les opposer pour des raisons d’égo, de corporatismes dépassés, de vulgaires querelles de clocher ou purement et simplement pour des raisons inavouables de profit et de lobbying.
Et cela en équipe, au service du patient, la vision de chacun éclairant celle des autres.
Un ou plusieurs thérapeutes tenteront alors de soigner le patient en profondeur, de lui faire retrouver sa pleine harmonie.
La collaboration de tous ainsi comprise assurera une sorte de médecine totale respectant, en son centre, le malade en pleine conscience.